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45.

Gatcbina, Ие 14 septembre 1803.

Је suis bien touch6e du souvenir du comte Simon et

du vdtre, m-r le comte, de тёте que de l'int6rdt que

vous prenez mes inqui6tudes et l'6tat de та pauvre

fllle. Mes dernibres nouvelles, reeues le 11 de се mois,

sont ип реи meilleures, la fbvre btant moins forte, et

та flle paraissait moins soufrir; voici le bulletin que

је vous prie de commnniquer m-r Rogerson. Ма flle

т'а 6crit quelques lignes, la pauvre enfant se croit

mieux, et пе parait pas se douter de l'6tat de danger

dans lequel elle se trouve; mais tout се qui l'entoure

п'еп est malheureusement que trop convaincu. et cette

situation est bien, bien afreuse. Је suis ici depuis avant-

hier, mons-r le comte, et le tems те favorise. Сотте

vous пе те parlez pas de votre sant6, j'aime те

flatter que vous etes remis de votre indisposition, et

j'aime d'autant plus le croire, que је le d6sire du fond

de топ сшит. Adieu, monsieur le comte, је vous те-

nouvelle toujours avec plaisir l'assurance de mes sen-

timens.

м.

Је suis bien de votre avis, m-r le comte. sur l'envie

d'arrondissement et sur l'esprit calculateur de certaine

cour.