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Gatcbina, Ие 14 septembre 1803.
Је suis bien touch6e du souvenir du comte Simon et
du vdtre, m-r le comte, de тёте que de l'int6rdt que
vous prenez mes inqui6tudes et l'6tat de та pauvre
fllle. Mes dernibres nouvelles, reeues le 11 de се mois,
sont ип реи meilleures, la fbvre btant moins forte, et
та flle paraissait moins soufrir; voici le bulletin que
је vous prie de commnniquer m-r Rogerson. Ма flle
т'а 6crit quelques lignes, la pauvre enfant se croit
mieux, et пе parait pas se douter de l'6tat de danger
dans lequel elle se trouve; mais tout се qui l'entoure
п'еп est malheureusement que trop convaincu. et cette
situation est bien, bien afreuse. Је suis ici depuis avant-
hier, mons-r le comte, et le tems те favorise. Сотте
vous пе те parlez pas de votre sant6, j'aime те
flatter que vous etes remis de votre indisposition, et
j'aime d'autant plus le croire, que је le d6sire du fond
de топ сшит. Adieu, monsieur le comte, је vous те-
nouvelle toujours avec plaisir l'assurance de mes sen-
timens.
м.
Је suis bien de votre avis, m-r le comte. sur l'envie
d'arrondissement et sur l'esprit calculateur de certaine
cour.