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Се 16 septembre (1803).

Је suis bien charm6e, monsieur le comte, de vous

savoir soulag6; j'esp&re que le bon air que nous res-

pirons depuis quelques jours contribuera vous те-

mettre аи plus t0t, et que vos esculapes vous permet•

tront d'en profter, car је le crois pr6f6rable аих тё-

decines. M-r Aubert peut etre persua.d6 que bien сег-

tainement ses enfans jouiront des soins dans

son absence, qu'elles l'ont fait jusqu'ii се moment. et

sous се rapport, avec justice, il peut etre sans inqui&

tude; c'est се que та r6ponse lui dira aussi.

Је n'ai pas de nouvelles de та flle depuis vendredi.

Ј'еп attends demaig; puissent-elles etre bonnes. Adieo.

monsieur le comte, c'est toujours avec le тёте plaisir

que је vous assure de tous mes sentimens.

м.