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Се novembre 1803.
Је vous remercie infniment, monsieur le comte, de
votre aimable lettre d'aujourd'hui, qui sous tous les
rapports ри que те faire trbs-grand plaisir. Је suis
de тёте bien sensible l'int6ret que те t6moigne le
c-te Simon, et lui еп marquerai moi-meme та recon-
naissance ces jours-ci. Је joins ici la lettre de m-lle
Gentz et la copie de celle de la duchesse de Mecklem-
bourg-Schwerin. Il est certainement consolant pour топ
сшит de voir les regrets donn6s аи souvenir de feue та
bonne et chbre enfant. J'ai pris сопдб aujourd'hui de
се m-r du Mecklembourg. Је vous enverrai demain,
monsieur le comte, та lettre роит lui. J'6prouve
chaque fois qu'il faut 6crire се Ludwigslust ип ser-
rement de сшит et ипе peine inexprimable.
Сотте dimanche prochain c'est la S-t Michel, et
qu'apparemment се m-r voudra se trouver аи jour de
cour de се jour, il faudra le recevoir ici dans le сои-
rant de la semaine; ainsi, si vous voulez lui fxer le
mercredi prochain, је le verrai avant le dfner, auquel
il participera ensuite.
Је vous envoie, monsieur le comte, toute la .d6p6che
de l'infante de Parme, еп vous priant d'en faire l'usage
que vous jugerez propos, et de m'envoyer signer
la r6ponse que vous croirez convenable de faire.