— 277 —
59.
Се lundi (19 octobre 1803).
Еп vous remerciant, monsieur le comte, de votre
souvenir, је те hAte de vous marquer que, malgr6
but le vrai plaisir que j'aurais vous voir, је те fais
•,ependant ип devoir de vous prier de пе pas penser
entreprendre ипе course pareille, par la saison d6-
estable du moment, et par ces mauvais chemins. Мб-
tagez-vous, monsieur le comte, et soignez votre sant6,
ont la conservation est si n6cessaire. Vous 6tes bien
оп de vous int6resser la mienne, j'ai 6t,6 ип реи
oufrante hier, mais је suis mieux aujourd'hui; сереп-
ant j'ai renonc6 reparaitre depuis hier la grande
ible, се qui fera que le jour que m-r de Rosenkranz
(endra chez moi, il pourra diner avec moi. Сотте
те parait qu'il est press6 de partir, j'attends la venue
топ fls aujourd'hui pour pouvoir d6terminer le
ur ой је pourrai le recevoir; се qui sera lorsque
Cmpereur те quittera, пе voulant pas pendant son
jour 6prouver la g6henne qu'un 6tranger donne [ои-
ars. Adieu, monsieur le comte, votre souvenir те
t toujours grand, grand plaisir; comptez sur le mien.
м.