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Се lundi (19 octobre 1803).

Еп vous remerciant, monsieur le comte, de votre

souvenir, је те hAte de vous marquer que, malgr6

but le vrai plaisir que j'aurais vous voir, је те fais

•,ependant ип devoir de vous prier de пе pas penser

entreprendre ипе course pareille, par la saison d6-

estable du moment, et par ces mauvais chemins. Мб-

tagez-vous, monsieur le comte, et soignez votre sant6,

ont la conservation est si n6cessaire. Vous 6tes bien

оп de vous int6resser la mienne, j'ai 6t,6 ип реи

oufrante hier, mais је suis mieux aujourd'hui; сереп-

ant j'ai renonc6 reparaitre depuis hier la grande

ible, се qui fera que le jour que m-r de Rosenkranz

(endra chez moi, il pourra diner avec moi. Сотте

те parait qu'il est press6 de partir, j'attends la venue

топ fls aujourd'hui pour pouvoir d6terminer le

ur ой је pourrai le recevoir; се qui sera lorsque

Cmpereur те quittera, пе voulant pas pendant son

jour 6prouver la g6henne qu'un 6tranger donne [ои-

ars. Adieu, monsieur le comte, votre souvenir те

t toujours grand, grand plaisir; comptez sur le mien.

м.