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я.
Се 24 septembre 1803.
Је regois l'instant votre lettre. monsieur le comte,
et les incluses qui l'accompagnaient, роит les envois
desquels је vous remercie infniment, de тёте que
роит la manibre obligeante (lont vous те promettez,
monsieur le comte, votre protection роит топ prot6g6
le јеипе baron d'Holland.
Il n'est que trop vrai, monsieur le comte, que toutes
nos dernibres nouvelles de Ludwigsbuyg пе nous laissent
que реи d'esp6rance, mais cependant је vous avoue
чие је пе puis, ni пе saurai те fxer cette id6e
cruelle: elle m'6prouve trop vivement.
Si m-r deRosenkranz n'est pas press6 pour son voyage,
је d6sirerais fxer son audience dimanche еп huit, mais
аи cas qu'il veuille partir plus tdt, monsieur le comte,
il est le maitre de venir ici lundi prochain. Aprbs
avoir r6pondu tous les points de votre lettre, monsieur
le comte, је vous renouvelle les assurances de tout
mes sentimens et de та plus parfaite estime.