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Се 15 octobre 1808.

Les voux que vous m'adressez, monsieur le comte,

pour та f@te, те prouvant l'int6r@t que vous prenez

moi, m'ont fait grand plaisir; agr6ez-en mes remercf-

mens et persuadez-vous toujours des 'sentimens que је

vous ai vou6s, monsieur le comte, qui те font appr6-

cier chaque t6moignage d'int6ret que vous те donnez.

Је compte m'oceuper ces jours-ci de toutes les r6-

ponses аих lettres des t6tes couronn6es, que vous m'avez

envoy6es, et vous les enverrai, monsieur le comte. Il

est si triste de parler constamment du тёте ob-

jet qui те fait soufrir, que j'avoue que сед lettres те

coatent 6crire.

Vous те ferez grand plaisir, monsieur le comte, de

m'envoyer la liasse de cahiers du Mus6um, envoy6e

par le comte de Markow. Ah! que је fais chorus avec

vous et votre fapon de penser sur cette .qrande nation,

qui fait le malheur de l'humanit6 dans се moment, et

qui lui еп pr6pare encore de plus grands dans l'ave-

1ir. Dieu veuille les d6tourner! Adieu, monsieur le

:omte, conservez-moi votre souvenir et persuadez-vous

[и mien.

Майе.