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20.

Нь графу Семену Романовичу.

norence, се 27 mars п. в. 1782.

Nous sommes la veille de notre d6part d'ici; nous

пе partons pas cependant cette fois-ci les premiers:

nous allons tater ип реи Re l'arribre-garde. Monseig-

neur part demain, m-r de Soltikow Vendredi et поив

Samedi. Nous allons tout droit Livourne, d'oi поив

irons rejoindre le grand-duc Pise et (ceci seryira

rectifer се que j'6cris m-r votre frbre) aprbs que

tout le monde aura fait ses PAques, nous reprendrons

les devans роит aller attendre monseigneur Turin.

Il у а еи depuis trois jours beaucoup de variations

sur l'ordre de notre marche, et је n'ai appris cette

dernibre lepon, qui j'espbre sera la dernibre, que depuis

та lettre m-r votre frbre 6crite. Nous avons 6t6,

Nicolai et moi, поп pas pr6sent6s, mais envoy6s аи

grand-duc d'ici, qui nous а reyu dans son cabinet, ой

il 6tait tout seul et ой il nous а tenu ипе heure et

demi аи moins nous parler de cent mille choses. П

parle beaucoup; c'est tout се que је vous dirai de

lni pour пе pas tomber dans le тёте d6faut.

Је suis retourn6 chez la Corilla, ой j'ai trouv6

Nardini; elle 6tait de la plus belle humeur du monde.

Aprbs ипе sonate, Nardini lui јоиа l'air, sur lequel elle

improvise. Aprbs avoir chant6 le premier . couplet de

1Vice de M6tastase, elle monta sur le tr6pied et еп

chanta ,ипе douzaine d'autres, vous пе f0tes pas

oubli6. Tout cela se passa si naturellement et tout le

monde 6tait si bien dispos6 дие cela fut trouv6 et que