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Кь нему же.
Uienne, сс VIII-bre п st. 1782.
Monsieur le comte, j'ai regu sur la route de Stout-
gard ici votre lettre de 19 a00t, Х2 13, ой vous те
parlez. du реи d'avantage que vous trouvez personnel-
lement la place que vous allez оссирет. Il est сет-
tain qu'& envisager la chose de се la place
n'est pas merveilleuse; mais il s'agit de savoir si dans
les circonstances ой vous vous trouvez vous pouviez
ои deviez faire autrement que vous n'avez fait еп l'ac-
ceptant et si c'6tait li absolument се qu'il fallait faire,
сотте је le crois; il пе s'agit plus de discuter l'avan-
tage particulier qui doit vous еп revenir, puisque cela
tient des consid6rations plus g6n6rales qui ont dues
vous d6terminer l'accepter et qui, dans та fagon
de penser, 0nt fait toujours ипе chose utile quand оп
fait се qu'on doit faire. Аи reste, quand vous parlez
de votre goat, је n'ai rien dire; mais quand vous
parlez de votre incapacit6, permettez moi de п'еп rien
croire et d'attribuer cela votre modestie. Роит la
place elle•meme, је пе la considbre que сотте ип еп
attendant dans la carribre ой vous entrez et ой rien
аи reste пе vous oblige de rester contre votre g00t,
et les occasions qui peuvent se pr6senter de vous еп
tirer votre avantage. Quant аи lieu, је le trouve ип
des plus converfables рат rapport votre situation