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Кь графу Семену Романовичу.

Се 5 f6vrier У. st. 1784.

J'ai charg6 son d6part d'un gtos paquet

роит vous, еп le priant, s*il s'arr@tait quelque temps

Vienne, de vous le faire passer рат р-се Galitzine, се

qu'il т'а promis. Il est parti d'ici, le bon Paesiello,

le coeur tout gros des bont6s de т-те la grande-du-

chesse, qui еп efet lui еп а t6moign6 beaucoup. Vous

aurez s0rement bien du plaisir le revoir et lui faire

conter ses aventures.

Је пе vous dis rien, топ cher comte, de toutes les

grati6cations et avancements qui ont еи lieu ici аи

sujet de l'arrangement des afaires de Crim6e, m-r votre

frbre devant cet 6gard 6puiser la matibre. Il т'а

montr6 hier sa belle bofte, qui est еп efet fort belle

et fort riche. Vous pensez bien qu'il est arriv6 cette

occasion се qui arrive toujours. Је sujs fort aise de се

qui еп est revenu notre bon koch, qui sa petite

croix et son augmen.tation de 8(I) т. ont fait grand

plaisir et feront grand bien. Је persiste croire

votre 6gard que cet arrangement vous sera bon aussi

pour vous tirer plus tOt, de votre mission et vous еп

procurer ипе autre, ои quelque place ici qui vous соп-

vienne. Је пе doute pas que m-r votre frbre et vos

amis п'у pensent. Ainsi, топ cher comte, bon соитаде;

пе vous laissez pas vaincre l'ennui qui n'est bon

rien, et tirez le meilleur parti que vous pouvez du

temps pr6sent;le seul qui soit еп quelque faeon notre

disposition.