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nicat de Lubeck p0t 6tre ип jour ип bon 6tablisse-

ment, је пе voyais pas quoi cela pouvait m'@tre bon;

је le priai d'en parler sur се pied т-те de ВепКеп-

dorf. Quelque temps aprbs је lui еп parlai moi-meme,

la priant de d6tourner т-те la grande-duchesse de

cette id6e, еп lui faisant sentir qu'infniment sensible

la gr5ce qu'elle voulait те faire, је la priais de те-

server sa bonne volont6 pour ипе autre occasion;

puisque la gr5ce, qu'elle voulait те faire dans celle-

ei, toujours infniment pr6cieuse сотте ипе preuve de

sa bont6 роит moi, 6tait telle que non-seulement је

п'у trouvais аисипе sorte d'avantage, mais que тёте,

par ипе suite de та faeon de penser, j'a'urais quelque

r6pugnance l'accepter еп cas qu'il пе те fut pas

permis de la refuser. Aprbs cela j'abandonnais le tout

la discr6tion de т-те de Benkendorf, т'еп remettant

elle faire de tout се que је. venais de lui dire, et

qui 6tait bien positivement се que је pensais, l'usage

qu'elle jugerait propos. Quelque temps aprbs j'appris

par NicolaI et рат elle qu'elle avait par16 de cette

affaire la grande-duchesse dans le sens que j'avais

d6sir6 et qu'il пе serait plus par16 pour moi de ces

lettres de noblesse. Је lui еп fs mes remerciements,

et depuis се temps il п'еп а plus 6t6 question. Voili

еп abr6g6 et dans ses principales circonstances l'afaire

dont је voulais vous parler et dans laquelle је serais

bien aise de savoir si monsieur votre .fcbre et vous

vous approuvez та conduite; puisqu'aprbs та propre

satisfaction dans се que је fais је пе d6sire rien tant

чие celle de mes amis la tete desquels j'ai bien le

droit, је crois, de vous mettre.

Turin, се 25 avril п. st. 1782.