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29.

Кь графу Сиену Романовичу.

(Ноябрь 1783).

Је n'ai pos manqu6 de faire part madame la gran-

de-duchesse de tout се que vous те dites de madam6

sa soeur dans votre lettre de Venise. Је lui еп •avais

d6jh parl6 d'aprbs се que vous еп aviez dit m-r

votre frbre dans ипе lettre de Vienne dont il m'avait

fait part. Madame la grande-duchesse у а 6t6 fort sen-

sible, et elle et monseigneur те chargent de vous dire

bien des choses de leur part. Il у а plus de 15 .jours

que је vous aurais 6crit, mais j'ai 6t6 retenu par l'afaire

de PaEsiello, dont il aurait fallu vous parler et qui vien.t

seulement d'@tre termin6e. Le pauvre еп а еи

bien du chagrin; mais enfn il а lieu d'@tre content de• la

manibre dont il s'en tire. Il а еи ипе prise terrible avec

le comit6. Voici comment. Exc6d6 de l'inspection de la

musique, dont- il 6tait eharg6, il а pr6sent6 ипе lettre

trbs-sonmise -et tcbs-respeetueuse аи comit6 роит еп

@tre dispens6. Le eomit6, aprbs avoir d61ib6r6 sur sa те-

qu6te, •l'a fait rentrer aprbs l'avoir fait attendre fort long-

temps et fort d6sagr6ablement dans• ипе antichambre

avec les laquais et les izwoschiky, et аи lieu de r6pon-

dre oui ои поп sa requate, оп s'est mis lui faire des

qnestions sur се qu'il voulait ои пе voulait pas faire.

а envoy6 son contract et а pr6tendu qu'on

пе pouvait pas exiger de lui autre chose que се qui

у 6tait sp6cifS. Sur cela grande dispute, dans laquelle