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Кь неиу же.

S-t P6tersbourg, се 20 VIII-bre v. st. 1785.

J'ai trouv6 chez moi, та rentr6e еп ville, l'estam-

ре de l'Imp6ratrice que vous m'avez аппопсб dans

votre dernibre lettre dont је vous faiS mes remercie-

ments, et j'ai appris depuis par m-r Lwow que c'6tait

lui qui l'avait envoy6 chez moi de votre part. Tai

aussi trouv6 le comte Larion Iwanitsch, votre cousin,

qui т'а remis ипе ancienne lettre de Pise, qui т'а

rappell6 bien vivement de tristes souvenirs. Nous avons

parl6 de vous, се qui nous arrivera encore souvent,

car c'est ипе matibre que nous aimons t,ous les deux

et qui пе sera pas 6puis6e de sit6t. Је reeois quelque

fois des lettres de notre cher comte Nicolas et suis

fort bxact lui r6pondre, de peur d'6tre grond6 d'im-

portance роит реи que је reste еп arribre. Il est tou-

jours son vilain Francfort. Voilb son frbre qui d6-

bote mieux que lui et qui а attrap6 Berlig, tout еп se

faisant tirer l'oreille роит Munich.

Архивъ Князя Воронцова XXtX.

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