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Кь неиу же.

ttupes, се 7 a00t п. 8. (1782).

Le comte Nicolas *), qui est venu nous joindre Libge,

а 6t6 parfaitement bien regu et trait6 par leurs altes-

ses imp6riales, qui ont voulu qu'il les suive pendant

leur voyage еп Allemagne. П leur а fait agr6er ses

excuses fond6es sur la crainte de leur 6tre incommo-

de еп ajoutant leur train d6j& trop nombreux et qui

а encore 6t6 grossis des deux princes, frbres de та-

dame la grande-duchesse que nous avons trouv6s

Francfort. Leurs altesses se sont donc content6s qu'il

se rendit ici sur la Пп du s6jour qu'on doit у faire et

qu'il les accompagnat ensuite jusqu'h Stoutgardt ой

l'on doit s'arr6ter cinq jours. Vous pensez bien, топ

cher comte, que да d0 6tre ип grand plaisir роит moi

que cette rencontre du comte Nicolas, qui т'а t6moi-

gn6 tous les sentimens que је pouvais d6sirer еп lui,

et que је retrouvais еп moi. Vous n'avez pa.s 6t6 ои-

bli6 dans nos 6panchements de coeur. Enfn, nous voili

tous rassembl6s Montb6liard ои plut0t jtupes. Une

grande famille, ипе grande suite, tout cela fait ипе

petite cour. Leurs altesses paraissent parfaitement соп-

tentes et se portent аи mieux. Роит moi, је compte lais-

ser passer encore ипе 8-те de jours, aprbs quoi је de-

mandrai la permission d'aller Strassbourg роит у voir

* ) Графъ Николай Петровичъ Руманцовъ, нашь посланвик•ь во Франк-

фур“ П. Б.