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mes parents, mes amis et у mettre ordre mes afai-

res auxquelles је n'ai pas regard6 depuis dix neuf апв

que је suis еп Russie. Оотте leurs altesses doivent у

repasser, је les у attendrai роит те r6unir leur

suite lors de leur passage.

24.

Кь неиу же.

Strassbourg, се 15 (1782).

Моп cher comte! Је n'ai que le temps de vous асси-

ser•ls reception de votre lettre de 10 aoat et de vous

еп faire тев remerciements. Elle т'а 6t6 d'autant plus

chbre et pIus agr6able qu'elle s'est fait attendre plus

longtemps. Vous avez d6jb vu par та pr6c6denie que

j'6tais instruit des d6tails de votre rentr6e аи service

par votre lettre аи comte Nicolas dont vous avez vou-

lu qu'il те fit part. J'ai bien senti moi-m6me dans le

moment tout се que vous те dites dans votre dernibre

des diTcult6s et embarras ой cette mission allait vous

jeter. Mais comment faire? Il п'у avait d'autre parti

prendre que celui que vous avez pris dans les cir-

-constances ой vous vous trouvez sauf se tirer du

reste le mieux ои le moins mal que faire se pourra.

Је viens de passer quatre ои cinq semaines d6lici-

euses аи sein de топ pays natal et de та famille, qui

vont те faire trouver bien dur le train et le tourbil-

lon dans lesquels је vais rentrer. Monseigneur est ar-

riv6 hier 9 et du soir et repart demain matin. Је

suis accab16 de tout се que те pbse sur les bras, ау-