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2.

А S-t P6tersbourg, се 2 (13) тау 1795.

Је m6riterais, m-r le comte, bien реи les professions

d'estime dont vous m'honorez, si је n6gligeais la premibre

occasion de vous еп t6moigner та reconnaissance.

Veuillez donc agr6er, avec mes sincbres f6licitations de

la bonne oeuvre qui vient de se conclure dans се то-

ment, les assurances du retour le plus parfait d'atta-

chement et de respect auquel vous avez 1е plus juste

titre, tant рат vos vertus personnelles que par le Ale

et la loyaut6 avec laquelle vous avez consiamment

travaill6 la formation dn si d6sir6 de cha-

que bon Russe, сотте de chaque bon Anglais.

Роит amener cet heureux d6nouement је n'ai fait

que suivre, m-r le comte, la тёте impulsion qui vous

.anime seconder de tout votre pouvoir tout се qui

peut rapprocher deux pays form6s par la nature et

port6s par leur propre inclination yivre ensemble

dans la plus intime union.

J'ai .l'honneur de vous faire passer quelques lettres,

qui m'ont 6t6 conf6es, et је m'estimerais trop heureux,

m-r le comte, si la fortune voulut те fournic l'occa-

sion de vous parvenir les d'estime et de

consid6ration avec lesquels etc.