Il те paraft que се que la Porte propose dans се
moment nos cours peut etre d'un grand avantage et
donner peut-atre ипе nouvelle face аих afaires. Је те
flatte qu'on le verra de тёте Londres.
Је пе manquerai pas, monsieur le comte, d-ex6cut.er
vos ordres еп pr6venant т-г de Ryndine toutes les
fois que је serai dans le cas d'exp6dier quelqu'un
d 'ici.
п.
S-t P6tershourg, 4 octobre 1798.
trai l'honneur, monsienr le comte, de vous t,ransmet:
tre рат топ courrier les d6paches qui nfont 6t6 соп-
f6es рат m-r le chancelier et plusieurs lettres partic.u•
libres, entre' autres celles de m-r Ryndine et de m-r de
Tarbeyew. Vous verrez, monsieur le comte, les motifs
qui ont d6cid6 Sa Majest6 l'Empereur remettre la
n6gociation, et certainement је suis loin de les d6sap-
prouver. Tout arrangement avec l'empereur devient
nul tant que la cour de Vienne n'est pas еп 6tat de
faire face аи danger qui la тепасе et sous lequel elle
succomberait infailliblement sans le s6cours p6cuniaire
de l'Angleterre. 0'est d'aprbs ces principes que Sa Ма-
jest6 l'Empereur l'a cru injuste de se pr6valoir des
moyens que l'amiti6 et la confance du roi lui propo•
saient, .jusqu'h се qu'on ait pourvu аих n6cessit6s plus
urgentes de la partie la plus faible et la plus expos6e.
Је пе sais, monsieur le comte, dans la position ой
је suis, si је dois craindre оп те r6jouir de la pro-
babilit6 de vous voir bient0t dans се pays. Моп int6-