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frez, il те parait certain et prochain; mais il те se-
rait impossible d'en Hxer encore le moment. Cela d6-
pend de deux ои trois ciroonstances, entre de
l'argent, que је snis assur6 d'avoir, mais que је suig
forc6 d'attendre. Је vous еп donnerai des nouvelles
par des occasions sores et promptes, que је trooverai
pr6sent plus faeilement dbs que le passage par Са-
lais sera ouvert. et vous еп trouverez assur6ment de
voh•e c6t6 par la quantit6 d'Anglais qui vont amuer
dans notre capitale. Mais сотте је suis еп chambre
garnie (ой vons m'avez laiss6, rue de l'Echelle), le
plus s0r est d'adresser les lettres chez m-r Lullins.
Adieu, mille fois cher et aimable comte.
Р. S Је те suis acquitt6 de tous les compliments
dont vous m'avez 0harg6. M-r le duc d'Ayen т'а paru
trbs-sensible votre souvenir. Ponr S6nac, il vous
auraif enfn 6crit s'il пе s'6tait рад trouv6 dans ипе
terrible crise: son pbre а 6t6 l'extr6mit6; il еп re-
vient реи реи et attrape bien des депв qui son-
geaient sa place. D'Alembert est flatt6 de votre souve-
nir presque autant que d'un certain autre que vous
avez vu еп passant: c'est tout dire. Il те charge pour
vous de mille respects ainsi que le philosophe Mais-
sague. Tout се monde-lh s'int6resse fort voos, топ
cher eomte; il п'у а рав la pauvre petite prin—
oesse d'Arm6nie qui пе se soit fourr6e dans la РИК-
qu'elle harssait si fort, pour у suivre vos desti-
пбев, et qui пе lise les gazettes роит у apprendre des
nouvelles du јеипе ministre p16nipotentiaire qu'elle
prend la libert6 d'embrasser de tout son coeor.