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pour• l'empire. Не l'@bes-vous pas encoret Vous. le se••

тев bient6t, sans doute, si c'est ип арападе des gt•na

des places, des grandes familles et •des graNs talens;

Il у а, је l'avoue, ип реп d'amour-proppe dans le;

moignage que је m'empresse de rendre votrp m6ri

%tontes les fois qu'il est question des sujets de voh•e

cour• qui sont, ои d6ji avanc6s, ои sur la ligne de

l'a•vancement: tous vos compatriotes veulent que vous

soyez топ ilipe, et quoiqu'assur6ment vous n'ayez• еш

d'autre maitre que yous-m6me, је пе laisse рав de те

rengorger пп реи ип propos qui те flatte par les

tendres sentimens que је conserverai toute та vie.

роит le comte Alemand•re Roneanovitch. Cependant cet

amour-propre пе m'aveugle point, et топ sufrage est

motiv6, raisonn6.

Depuis la date de votre lettre il est arriv6 ип вепд

fait contraire l'opinion que vous те marquiez аи

sujet •des changemens auxquels оп s'attendait chet

nous. Tout serait encore rest6 sur le тёте pied sans

la retraite de m-r Necker *). Elle а 6t6 bien volontaire,

пе tenait qu'& lui de garder sa plaoe; maiB,

trop ponss6 par ses amis, et peut-6tre рат ses еппе-

mis, il s'est 0bstin6 demander d'entrer аи Conseil pt

mettre le marchi d la таи. Cela 6tait fait роив

plaire. Оп avait la plus haute opinion de ses talens,

Оп' s'exag6rait peut-@tre et •le bien qu'il avait 'fait et

eelui qu'il promettait de faire. Оп n'avait point 6t6

blesB6 d'un ton d'6gorsme, dejactance et тёте (il faut

trancher le mot) de char"nerie, qui devait paraftpe

nonveau dans ип pays, dans ипе cour ой il n'est pas

ДЬо идетъ о норвоП о*ставвт Неккера въ 1781 г.