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Bruxelles, 21 a00t (1767).

Је pt•ofte, monsieur le comte, de l'unique 'mdmdnt

(lui тб reste, еп sortant d'un grand dtner et”allant S

la com6die suivie d'un souper (ой је .vouS te-

nir) pdur r6pondre la lettre du 19 que voup m'ave

fait l'honneur de m'6crire.

Је n'ai pas еи encore Ь.еаисоир de tems poul' саид

ser tete t6te avec m-r de Cobentzl. Је бе 1bve'

trop tard, parce que је те couche de тёте; et јё

compte lui allei• faire ип de ces matins ипе .visit6 de

6 7 heures. Се que j'ai vu, c'est qu'il vous t>ime ei

vous regrette de tout son coeur.

Le prince de Galitzine т'а 6crit d'Aix еп onse•

та lettre sur son mariage; il est encore dans I iyr6sse.

Dieu l'y maintienne!

Је soupe се soir avec Eug6nie et је. lui renouvel-

lerai vos amiti6s, dont elle• 'est fort natt6e. Pdui• te

prince de Ligne, il est toujours tourner sur le lalon.

V0tre m6moire est trbs- bien, et се qui у niaaqlib

йе le. gate pas, аи contraire. Је vous reconimaiide

npuveau топ afaire avec m-r Eberhir.t.

de vous rappeler que vous devez avoir enco•re ите т:-

hu•te du petif pr6cis que је vous avais donn&.de.

afaire; lorsque vous voul6tes bien •v.ous ей 'm•61e+•. il'y:

а deux ans. Је vous supplie de jeter •res'

vous serez arriv6 l'endroit еп question, айп de vous

rappeler tous les faits qui ont rapport cette afaire.