d'usege de faire, dans des 6crits publics, ип рах•че

aobitraire de la gloixe entre le ministre et le monarque.

је erois тёте que се ton-E vis-bvis d'un makre

quelconque (ancien ои поитши) paraftrait aussi 6trange,

eneore plus 6trange, dans tout autre pays, Eh bien,

toub cela avait $6ussi. Оп avait тёте tenu ferme соп-

tre .les clameurs qu'e;cita la d6couverie, malignement

rendue publique, d'un certain m6moire sur les assan-

blda provindal68. Les cours souveraines et toute •la

magistrature, surtout le parlement, п'у 6taient pas plus

m6nag6s que les intendants de province. Le clerg6 lui-

тете, si gceueilli de m-r Necker et qui courait аи

devant de ses vues роит s'arroger la principale innu-

епсе dans ces .Bdministrations provinciales; la noblesse,

d6clar6e роит lui, parce qu'elle еп aurait еи sa part,

quoiqu'en soug-ordre,—ne pouvaient essuyer sans quel-

ques peine les aspa"ns (сотте оп dit Londres)

de corruptibilit6 et de v6nalit6 r6pandues sur еих dans

се m6moire.

Cependant telle 6tait la pr6tention, dans сев deux

0Tdres, la manie de jouer ип r01e, d'@tre quelque

chose daus l'administration ои de s'en donner l'air

(quoiqu'au fond ils n'auraient 6t6 que des instrumens

•veugles, soumis et еп quelque sorte passifs, des vo-

lont6s absolues du ministre des finances) que le cler.g6,

ooblesse, c6Ebraient encore m-r Necker et la

cour тёте ип puissant parti s'6tait form6 des d6bris

de .celui qu'on avait appel6 le parti Choigatl, mais роит

qui, depuis longtems, се пот пе servait plus que d'un

B0t Ф ralltement. Le chef nominal а trop d'qs.prit et

de fuesse роит пе l'avoir point senti, car c.hacun des

individus tirait de son c6te' et frappait toutes les рог-

tes. Cela 6tait trop 6vident роит pouvoir le dissimuler;