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PariB, 9 a00t 1783.
Је пе suis pas еп reste avec vous, m-r le comte,
car vous devez ипе r6ponse та dernibre lettre et
та pr6c6dente; mais vous avez beaucoup d'afaires et
ј'еп ai fort реи ои point, except6 la plus importante,
dans laquelle је n'ai pas encore r6ussi: c'est le r6ta-
blissement de та sant6. Que vous dirai-jet Des пои-
velles de notre cour, de notre ministbre? Vous Savez
tout cela ип реи plus tard quelquefois, mais toujours
beaucoup mieux que moi. Vous avez, d'ailleurs, ici ип
ami а la пшьп la pate et qui, de plus, n'est pas
sans уеих et sans oreilles. Vous apprendrez par la Ga-
zette de France la nouvelle, la plus int6ressante пои-
velle de Versailles. C'est l'entr6e аи Conseil du baron
de Breteuil. Il п'у а plus тоуеп de lui dire: атог•сев
(vous vous souvenez de la plaisanterie); оп veut, et
је le d6sire fort, que се пе soit point 6chec m-r de
Vergennes. Tout l'ext6rieur est pour lui, et. il пе paraft
encore аисипе diminution de cr6dit. Оп parle de tous
les d6partemens pour le baron, except6 de celui des
afaires 6trangbres. Tout cela est bien honite, bien
courtisan; mais, selon та faible opinion, le dit baron
а fait ипе terrible епјатЬ6е. Ses amis sont mode-
stes. Је crois qu'il l'est aussi (car оп le dit Ьеаисопр
ehang6, сотте vous те le marquiez il у а Bix mois,
еп pr6voyant l'6vbnement); puisse-t-il se contenter d'un
neinistiriat honoraire, еп attendant ип des d6partemens