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Ш.
80 septembre 1783.
Је vous 6cris de la сатрадпе, m-r le comte, ой m-r
de Markow т'а fait dire qu'il aurait ипе occasion pour
Jeudi. П у а longtems que j'attends de vos lettres, ои
plut6t de vos r6ponses et је n'ai еи de vos nouvelles
que verbalement, par m-r de Markow, depuis son ar-
riv6e dans се pays-ci *). Је пе vous parlerai ni nouvelles,
ni politique; је пе pourrais d'ailleurs que vous instruire
faiblement, car је suis ип pauvre invalide qui, depuis
la mort du c-te de Broglie. п'а plus reeu d'encoura-
gement que des complimens et des 6loges, тёте des
e.xhm•tations d conttnuer, pendant qu'6pau16 des sollici-
tations de m-r de La Fayette, de tous les Noailles (ех-
cept6 le marquis j6suite) et de quelques autres de la
тёте v016e, је n'ai pas ри obtenir la seule grace que
j'aie demand6e, savoir la r6version de la moiti6 de та
pension еп faveur d'une nibce et de ses enfans orphe-
lins, victimes de la comptabilit6 du pbre le plus impru-
dent, dont la mort а d6voi16 toutes les sottises atroces.
Је пе sais si је rab&che et si је пе vous ai point d6jd
mand6 tout cela. Ма foi, cont•inuera qui vcudra. J'ai 6t6
toute та vie la dupe ои la victime de ces messieurs-lh.
Ils ont prodigu6 les emplois, les honneurs et les bien-
* ) АрвадМ Ивановичъ Марковъ въ то время находился въ Парим
упоаноиоченнниъ отъ въ переговорахъ по мира
ощу mBIIieo и AEHieo и ваависииости СТверо-Аме-
ривавсдхъ Штаторъ. Ц. Б.