que personne п'а envie de quitter et dont аисип пе
lui conviendrait si bien que celui dans lequel је sou-
haite m-r de Vergennes la 0ie 6ternelle. Се n'est pas
que cette oie те fasse viore plus l'aise. J'aurais тб-
те sujet de те plaindre d'un proc6d6, еп dernier lieu,
que j'ai !rouv6 bien dur, par l'6quivalent du refus d'une
grace qui n'aurait еи lieu qu'aprbs та mort et qui
consistait conserver la moiti6 de та pensioa ипе
јеипе veuve et cinq enfans que топ neveu а laiss6s
sans pain. 0ette grace avait 6t6 accord6e Boismar-
tin, qui п'а jamais 6t6 que seer6taire et intendant du
comte de Broglie et quelquefois d6chifreur de la cor-
respondance secrbte. П а le тёте traitement que moi.
Пе c-te de Broglie, deux ои trois ans avant ва mort, lui
avait fait assurer pour sa femme et ses enfans la moi-
ti6 de се traitement aprbs sa mort. Је те flaitais que
топ personnel pouvait, tous 6gards, faire la balance
de la ligne collat6rale avec la ligne directe. Le c-te de
Broglie le pensait ainsi, et il avait entam6 1'afaire dbs
que је lui еп eus par16 (aprbs la suppression de la
plaee de топ neveu раг m-r Necker)—ce fut malheu-
reusement trop tard. Il partait alors pour son dernier
voyage et mourut six semaines aprbs. J'6tais bien sar
d'obtenir cette graee avec ип tel solliciteur. Sa perte
те d6couragea, et се пе fut qu'aprbs la morb de топ
neveu еп novembre dernier (aprbs que је fus inform6
de l'6tat d6plorable de sa comptabilit6) que, voyant
l'h6pital сев cinq malheureux enfans avec leur тёте,
qui avait cautionn6 доп mari, је risquai, l'hiver der-
nier, auprbs de m-r de Vergennes ипе tentative. Је [а
appuyer par m-r le mar6chal de Noailles, de Ьа
Fayette, et les vicomtes de Larochefoueault et de