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TiRis, le 11 fbvrier 1847.
J'envoye pas la poste d'aujourd'hui, cher Паведъ
та dernibre opinion sur l'afaire des бека
et агалар, modif16e beaucoup d'6gards еп suite des
observations du Comit6 du Caucase, parmi lesquelles
j'ai cra surtout devoir те rendre celles faibes par vous,
еп diminuant, autant qu'il т'а рати possible, les restri-
ctions qui pesaient dans le premier projet et qui ont
toujours pes6 ici encore bien plus sur la libert6 , indi-
viduelle des cultivateurs Tartares. Је sais bien, сотте
vous l'avez observ6 Safonow, qu'en soutenant jusqu'h
ип certain point ces restrictions, је n'agis pas d'aprbs
l'impression que j'ai toujours еие sur cet objet et d'aprbs
l'aversion et le d6g00t que j'ai toujours senti pour
l'esclavage personnel. Mais croyez-vous donc, cher
11аведъ que j'aurais agi et repr6sent6
dans ип sens contraire mes sentiments bien d6cid6s
et bien connus, si је n'6tais то, aprbs ип ехатеп de
bien prbs de deux ans, par la persuasion que faire plus
que је пе propose l'avantage des cultivateurs contre
les intt5r0ts des propri6taires de terrain serait mettre еп
confusion toutes les id6es et la position sociale des рте-
miers et indisposer gravement contre nous toute la classe
influente des derniers? Је distingue еп deux parties
l'arrangement actuellement propos6: la premibre, c'est