TiRis, le 9 novembre 1817.
Vous reeevren, рат •cbttB p6ste апе pribre oficielle
•moi ам sujet de l'arende •du• Gorsky; il
mbrite •votre protbction cet 6gard, саг •il eBt aussi
pauvre qu'honnate. Il $6st Sib6tie ипе
femme aussi pauvre que lui, mais qui lui rapporte
beaucoup d'enfants; il met tout son espoir dans la
continuation de cette arende, et il m6rite cette conti-
nuation раг ses bons et loyaux services.
Је crois vous avoir 6crit dans le tems sur та сот-
respondance avec le ministre des fnances аи sujet du
changement de systbme роит la vente de l'eau de .vie
еп Russie et l'introduction d'une accise аи lieu des fer-
mes. 1ls viennent, се qu'il paraft, de d6cider la chose
P6tecsbourg par се qu'ils pourraient appeler ип
mezzo-termine, mais qui п'а аисип des avantages qui
accompagnent quelquefois les demi-mesures. Le grand
point, selon moi, le point important qui doit faire d6-
sirer ип changement complet dans le syste\me, c'est les
abus criards de tout депте qui proviennent des fermes
et des fermiers. От, dans се qu'ils veulent faire pr6-
sent, il reste la pr6sence des fermiers partout, et l'accise
пе vient que par-dessus le march6 dans seize gouver-
nements, purement сотте mesure de fnance. La chose