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те sa supplique. Роит beaucoup de raisons, qu'il se-
rait trop long d'expliquer dans cette lettre, son d6-
part поп seulement пе те contrarie pas, mais il 6tait
тёте devenu n6cessaire; car il п'у avait plus de соп-
fance entre lui et moi. Је dois cependant dire, malgr6
cela, qae dans l'afaire que поив venons de terminer,
il т'а 6t6 utile et тёте indispensable: la multiplicit6
des “ires ici et les oocupations continuelles et рет-
sonnelles, sous le point de vue militaire, auraient re-
tenu peub-6tre епсоге ип ап ои deux toute pr6senta-
tion de та part ропт се rbglement, si le gros ouvrage
п'еп avait раз, 6t6 pr6par6 par lui. Nous n'avons pas
6t6 toujours d'accord sur les d6tails, mais је n'avais
fxer opinions sur се qui m'6tait propos6 clai-
rement et avec oonnaissance de cause, et се que је
n'aurais ри ni rassembler, ni mettre еп ordre sans
son assistance. Је demande potr le remplacer la по-
mination da prince B6boutow, l'homme le plus сара-
ble sous tous les rapports de remplh• се poste et avec
lequel је suis depnis trois ans dans des relations de
confance et d'amiti6; il п'у а qu•une voix sur cet
homme et dans le pays, et parmi tous les Russes, et
tous les chefs qui m'ont pr6c6d6s ici, et il п'у а qne
le s6nateur Hahn qni еп а dit dn mal, parce qu'il
voulait le d6poss6der de l'administration sur l'ancien
pieds de la province d'Arm6nie et parce que le prince
Bdboutow lui а noblement refusd de calomnier le дё-
n6ral R.osen,
nelles.
Voilb ипе
voulu tacher
afaire et de
auquel •il • avait des obligations person-
bien longne lettre, cher comte; mais j'ai
de vous expliquer та conduite dans cette
vous faire revenir de l'id6e que j'6tais