ПРИЛОЖЕНТЯ.

1.

00pie d•une d6p$che аи c-te Pogm•di-Borgq еп d'te dp. I.gd-

res le 10 (22) 1836.

А Heeptioj de• la d6peche dd v. ех. еп aaie Ди f6vrier

је m'occupai, ainsi que m.r le ministre de Prusse et le cha;gE

d'afaires d'Autriche, des moyens, quoique indirects, de пе. рад

laisser ignorer lord Palmerston que le gouvernement de Отсо-

vie, ainsi que les trois cours protectrices auraient d6clin6 la pr6-

. висе d'on consul ои agent politique Anglai8 quelconque aupru

de r6publique.

Nous avions pr6f6r6 cette m6thode ибе 'd6cldratiotl •di•ess6e

personnellement аи ministre, afn de пе рад mbttte ёоп avn'b!ir-

propre ёп action, d'autant plus qu'il n'existait Висип утрут?

qu'il voulut ptendre ипе telle r6solution.

Dans l'intervalle, les provocations des r61ugi6s PolonaiB r6unis

leurs partisans ее la fureur aveugle de la presse,

l'annonce de la motion d'un m-r Stewart, membre du Pdrlement,

con8i8tant dans la proposition [а chambre de faire ипе adresse

аи roi pour demander la nomination d'un Cracovie et

pour aviser аих moyens de prot6ger le commeree Anglais dang

l'Orient et la libre navigation du B8S Danube contre pr6ten-

dBB de la Russie.

Ayant raison d'appr6hender que lord Palmerston cuerait

•impNBBion, du moins еп се qui la ho±ation -du

воши1, et lord John Rusull 8'6tant expliqu6 av.eo moi de те