est риге et loyale, combien la conduite de l'Angleterre

еп Perse est

injuste et odieuse. Malheureusement

notre cause п'а pas de d6fenseurs. Palmerston parle

toujours seul et fait accroire се qu'il veut, поп seule-

ment аих badauds de Londres, mais тёте й. ses col-

lbgues et аих hommes influents dans les afiires du

pays. Il уа ипе classe d'enrag6s et de furi)onds, qui,

domin6s рат l'6migration polonaise, se font ип plaisir

et ип m6rite de nous hair, sans аи fond trop savoit•

pourquoi. Се n'est pas ceux-lh qui j'entreprendrai ја-

mais de gu6rir. Mais c'est sur cette masse d'hommes

de bon sens, plus nombreuse peut-6tre encore еп Ап-

gleterre que partout ailleurs, que је voudrais trouver

ип тоуеп d'agir. C'est d'eux que d6pendent, еп der„

nibre analyse, la solution de toutes les grandes que-

stions; sans leurs assentiment et leurs concours ипе

rupture n'est pas possible, Еп entendant toujours son-

пец• la тёте cloche, leur jugement peut n6anmoins

facilement se fasciner, leurs opinions s'6garer. П im-

porte de rectifier leurs id6es, de leur d6montrer toute

l'absurdit6ides suppositions de Palmerston, de ses асси-

sations si gratuites, de ses desseins impraticablds et

fond6es sur аисипе r6aiit6, que да malveillance nous

pr@te sans cesse, de leur fa.ire envisager la politique

franche et pacifique de l'Empereur sous son v6ritable

jour, et leur prouver епйп que се n'est pas еп ballon

qu'on arrive аих Indes.

L'id6e m'est venue, топ .cher comte, que sous се

rapport personne пе pourrait nous rendre de meil—

leurs services que yous pendant votre s6jour еп

Angleterre, qui fort heureusement tombe dans ипе

bpoque ой les cartes semblept plus que jamais de-