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Аи moment ой il у arriva, la force des choses avait dO

r6ali86 nos pr6vi8ion8, justif6 пов remontrances, accompli notre

attente.

Le sibge de H6rat 6tait lev6, l'arm6e persane dissoute, le chakh

rentr6 dans ва capitale.

Il пе поив restait plus employer пов eforts r6tablir [а

bonne intelligence entre la cour de Londres et celle de T6h6ran.

C'est cptte oeuvre de conciliation que nous avons travail16 et

que поив continuerons contribuer sans relAche. Certes, ипе poli-

tique exclusive, jalouse & 6troite aurait ри nous conseiller de pro.

fter de la circonstance pr6sente, pour entretenir la querelle entre

les deux gouvernements, айп d'exploiter, l'avantage de notre

pr6pond6rance, la rupture de leurs relations.

Loin de поив ипе pareille репвбе, qui r6prouve la politique

conservatrice de l'Empereur. Аи lieu d'61argir la br6che que les

derniers 6Ф1етепв ont faite dans les rapports mutuels des cours

de Londres et de T6h6can, notre Auguste Maftre п'а еи d'autre

soin que de la pour toujours; аи lieu de perp6tuer leur

m6sintellingence, il а coeur de la terminer ипе

heure plus tOt. C'est vers се but que les repr6sentans de l'Empe-

reur ont тери l'ordre de diriger leurs soins Londre.8, сотте

T6h6ran.

Leurs semblent пе рад 6tre rest6s sans r6sultat.

Les d6marches dont le g-l Duhamel sbt acquitt6

depuis воп arriv6e sa destination, ont 6t6 accueillies avec d6f6-

rence. Le chakh а бпопсё it6rativement le d6sir de connaftre le

jugement que l'Empereur porte sur la situation actuelle des choses

еп Perse, l'intention de se conformer nos consei18, enfn le voeu

de voir пов bons 0f6ces activement employ6s Londres, роит

applanir les dif6rends survenus entre les deux 6tats. Telles sont

les dispositions que notre ministre trouv6es et qu'il cherche

entretenir T6h6ran.