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ва propre s6curit6, сотте pour celle des 6tats voisins. Finalement,
elle exprime l'attente поив sommes de voir l'Angleterre rentrer,
son tour, dans l'ordre habituel et r6gulier des chosu, rappeler
son escadre et abandonner l'fle de karak, momenian6ment оссирбе
par les troupes qu'elle а envoy6es dans le golfe Persique.
Cette ouverture pr6c6da celle que le m•quis de Clanricarde filt
charg6 de поиз faire sur la тёте question & dont il B'acquitta
par ва note du 9 novembre. Le8 6claircissemens que le gouverne-
ment britannique d68irait obtenir, nous venions de les donner. Les
doutes qu'il avait paru concevoir, nous avions 6t6 premiers
les dissiper. Les explication rauurantes qu'il 6tait еп droit d'esp6-
rer de notre loyaut6, il n'avait рад еи besoin de les attendre:
1' Empereur venait lui.m6me de les ofcir.
quelle а 6t6 notre conduit,e envers l'.Angleterre.
Quant la Perse, la marche que le cabinet imp6rial а suivie, а
6t6 tout aus8i franche & tout aussi correcte. ms que nous avons
еи connaissance des embarras dans lesque18 le chakh s'6tait jet6,
malgr6 nos voeux, malgr6 nos conseils, le g-l Duhamel, qui se
rendait alors son poste, а тери l'ordre d'adresser се souverain
repr6sentations qui nous semblaient les mieux appropri6es sa
position & ses vrais int6r6ts.
Nos conseils peuvent se r6sumer еп deux mots: r6tablir ses
relations d'amiti6 avec 1' Angleterre; abandonner l'exp6dition
d'H6rat, que поив avions toujours d6sapprouv6e сотте inopportune
сотте dangereuse; enfn, se replacer sans le moindre retard аи
centre de ses 6tats pour у maintenir l'ordre. & le repos. Tel est
le sens de8 instructions dont le g-l Duhamel se trouvait muni, еп
ве rendant T6h6ran