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тнПтвв Ь'Н.ЕВМПАОЕ.
*ez-vous, car la Marquise а des уеих, votre ami еп а aussi...•.
пв se verront... Ils se regarderont... Et s'ils пе se regardent рад,
oh! c'est tant pis... C'est tant pis... Mais encore pis, s'i18 alloient
se fuir... Alors tout seroit perdu.
SC)NE Ш.
RODENCOUB, МОНОАЬМЕ, MARQVISE.
LA MABQUISE. Је suis bien aise de vous t•ouver ici, тев-
sieurs.
RODENCOUB. Vous avez l'air agit6, madame; qu'avez-vous?
А Мопсате д demi-vob.
Remarquez qu'elle vous bat froid, топ neveu...
MONCALME. Peut-on savoir, madame, vous venez?
LA MABQUISE. Је viens de chez та tante; elle est malade,
et, qui plus est, de bien mauvaise humeur.
RODENOOUB а Мопсадте а dni-voim. Elle пе vous fait
pas тёте l'honneur de vous regarder.
MONOALME la Marquise. A-t-elle quelque chagrin?
LA MARQUISE. Elle vient de recevoir des lettes de топ
qui arrive aujourd'hui.
RODENOOUR а Мопыте demi-voim. Elle rougit et pNit
tour-i-tDur, et il у а de l'embarras dans son maintien.
MONOALME la Marquise. Cette nouvelle mettroit le сотые
топ bonheur, si vous la regardiez, madame, сотте ип avant-
coureur de l'heureux jour qui doit nous unir jamais.
LA MABQUISE. Моп рёте vient ici, il est vrai... Mais је
crains qu'il пе те pr6pare bien des chagrins.
RODENOOUB а Мопсајте а dani-voi.z. Entendez-vous,
Moncalme, des chagrins!
MONCALME la Marquise. Моп unique espoir est еп vous,
madame; vous connoissez топ amour, топ pur