72
сиплап.
colas, сотте поид sommes amis depuis longtemps, notre сог-
respondance r6gulibre est toute naturelle. Mais је n'ai gubre
те louer de m-r Simoline, qui п'а jamais voulu те r6pondre
qu'en termes g6n6raux et pr6textant пе rien savoir sur се
qui se n6gocie entre les cours de Berlin et de Londres avec
celle ой il est, quoique је l'aie toujours inform6 exactement
sur le раув је suis: саг il т'а toujours semb16 que le bien
du service• exige que поиз nous informions les uns les autres.
Mais сотте il est trbs-myst6rieux avec moi, j'ai pris le par-
Н de пе le plus incommoder moi-meme.
Les n6gociants anglais qui ont 6t6 еп Russie et qui la
connaissent, pensent que le prenner efet de la nouvelle Banque
sera de hausser chez nous le prix de toute chose, particu-
lierement la main d'oeuvre, et que cela fera тёте baisser le
change.
26.
Londres, le 13 (24) 0ctobre 1786.
Је vous prie de bien remercier de та part notre ami le
comte Bezborodko роит les informations qu'il т'а donn6es. Еп
v6rit6, је пе puis assez lui t6moigner та reconnaissance роит
les soins qu'il а de те communiquer les afTaires, et de се
qu'accab16 de travail il veut bien encore se donner la peine
de m'6crire avec tant de d6tail. Је suis certainement le seul
privi16gi6 de тев btant continuellement bclair6 et
аи courant des afaires. C'est vous et й lui que је dois
cet avantage. Сотте votre lettre contienL dif6rentes matib-
res sur plusieurs desquelles је puis rbpondre, је le ferai
plusieurs reprises. Еп attendant је vous dirai que j'ai beau-
соир questionn6 Pohenpol sur votre 6tat, sur votre
de vivre, et il т'а donn6 la satisfaisante nouvelle que vous
vous portez bien, que vous etes gai et que vous jouissez de
l'estime et la considbration g6n6Ale, се qui vous est trbs-