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сиплап.

colas, сотте поид sommes amis depuis longtemps, notre сог-

respondance r6gulibre est toute naturelle. Mais је n'ai gubre

те louer de m-r Simoline, qui п'а jamais voulu те r6pondre

qu'en termes g6n6raux et pr6textant пе rien savoir sur се

qui se n6gocie entre les cours de Berlin et de Londres avec

celle ой il est, quoique је l'aie toujours inform6 exactement

sur le раув је suis: саг il т'а toujours semb16 que le bien

du service• exige que поиз nous informions les uns les autres.

Mais сотте il est trbs-myst6rieux avec moi, j'ai pris le par-

Н de пе le plus incommoder moi-meme.

Les n6gociants anglais qui ont 6t6 еп Russie et qui la

connaissent, pensent que le prenner efet de la nouvelle Banque

sera de hausser chez nous le prix de toute chose, particu-

lierement la main d'oeuvre, et que cela fera тёте baisser le

change.

26.

Londres, le 13 (24) 0ctobre 1786.

Је vous prie de bien remercier de та part notre ami le

comte Bezborodko роит les informations qu'il т'а donn6es. Еп

v6rit6, је пе puis assez lui t6moigner та reconnaissance роит

les soins qu'il а de те communiquer les afTaires, et de се

qu'accab16 de travail il veut bien encore se donner la peine

de m'6crire avec tant de d6tail. Је suis certainement le seul

privi16gi6 de тев btant continuellement bclair6 et

аи courant des afaires. C'est vous et й lui que је dois

cet avantage. Сотте votre lettre contienL dif6rentes matib-

res sur plusieurs desquelles је puis rbpondre, је le ferai

plusieurs reprises. Еп attendant је vous dirai que j'ai beau-

соир questionn6 Pohenpol sur votre 6tat, sur votre

de vivre, et il т'а donn6 la satisfaisante nouvelle que vous

vous portez bien, que vous etes gai et que vous jouissez de

l'estime et la considbration g6n6Ale, се qui vous est trbs-