п. в. вмпиъ.
mille livres gterling d6 goin6es la Tour, maiB l'an"e
de l'or 6tait si grNe qu'on ев а fvapp6 роиг
пп million et demi. Aussi le commerce de се pays esbil dau
ип 6tat 60rissant, сотте il пе l'a jamafs 6t6.
Adin, топ ami; је suis si fatigu6 чие је п'еп реих Nu.g;
j'ai еи tant 6crire j'ai 6t6 0blig6 d'employer топ
sin Zinowiew, Lizakewitz, koronatsky et l'aumOnier copier
ипе partie de се que j'avais 6crire, et que malgr6 cela
j'ai еи tant d'onvrage que j'6tais oblig6 de mettre еп blanc
beancoup m6i-meme. Ма main est tout engourdie. Faites тев
excuses Saugy, Lwow, Tarbeiew que је пе leur Гб-
ponds рад pr6sent, ainsi qu'A notre ami Protassof, mafs је
le ferai dans реп.
Dans l'instant que је fnissais та longue lettre, оп т'ар-
porte la vOtre du 6 Mai, dans laquelle vous те communf-
quez la lettre de l'1mp6ratrice m-r Bacounine et l'ordo
donn6 аи vice-chancelier sur la manibre dont elle veut
notre pauvre ami malade soit trait6 рат le C0116ge et пов
ministres dans le cours de son voyage. Cette marque de Ьов-
t6 de l'1mp6ratrice doit le fatter infniment, car оп Ие traite
сотте feu топ oncle. Је suis bien nch6 de le savoir r6-
duit l'6tat d6sesp6r6 dans lequel il se trouve. S'il pett
supporter la тет, се qu'il verra dans son trajet jusqu'i Ул»
beck, il ferait bien de continner son voyage par тег jusqu'h
Lisbonne et de Lisbonne jnsqu'i Pise; car le voyage par tere
depuis la Hollande jusqu'en Provence lui sera trop fatigant,
et l'air de Provence пе vaut рад celui de Pise.—Je vois avec
satisfaction combien vous etes content de vos trois collbgues
dans votre commisslon sur les banques. Је suis bien persua-
d6 qu'il у а plus d'agr6ment de traiter avec евх qu'avec le
prince Wiazemskoy ои le comte Tchernichew. Је те Ratte
que vous те commnniquerez le plan de cet отпаде, maiB со-
pi6 раг quelque main lisible. Envoyez-moi aussi tous пов
tarifs, er је n'avais que celui de P6'ersbourg, et le oomte
Mocenigo те l'a pris. Је vous prie aussi de •l'—i6
de faire r&xp6dier Pohenpol аргё$ б 7 Фта" М-