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—ввыть итки•и.
«ont les Am6riniu еп faveur des proclamatiou
annuelles, оа qn'on les annulle aussi pour еих.
H-r Pitt, aprbs etre souvent revenn sur le chapitN des
princip de l'Imp6ratriee, те dit: „Nous esp6rons que par
amis et parents чае уоив avez, оп ве d6sis&era chez уоив
des princip qui empechent absolument la conclusion de notre
trait6L. Је lui ai r6pondu snr cela que је lui avoue franche-
que је n'6crirai personne sur cet article, et que si
j'6tais assez inconsid6r6 que de le faire, шев parens et amis,
Ыы loin de faire la moindre d6marche роит seconder тев
repr6yntations, пе feraient rien autre chose que de те bien
gronder et еп auraient bien raison. Је comprenais que c'6'ait
vous et Ааевсавдръ Андреевичъ qu'il d6signait.
Је lui dis seulement qu'il se peut que l'Imp6ratrice
bien permettre quelque changement dans la tournure des
phrases, mais pour le vrai sens de ses principes jamais elle
пе consentira аи moindre petit changement possible. Il faut
a•ssi que le ministbre d'Angleterre s'oblige de faire faire des
actes de Parlement relativement tout се qui regarde les
droits et les douanes, sans quoi toutes les obligations de се
c0t6-ci seront abwlument illusoires. Il serait n6cessaire d'a-
jouter de notre c0t6 que Bi dans la premibre session du
Parlement qui aura lieu aprbs la signature, les actes qu'on
demande пе sont pas promulgu6s, оп regardera de notre c0t6
се trait6 сотте поп avenu.
J'ai cru пе pouvoir 6crire аи vice-chancelier le singulier
aveu que т'а fait m-r Pitt еп сопйапсе sur la crainte qu'il
а du ±ontentement de la nation, si le trait6 пе se conclut
рад; parce que поз d6peches, allant par tous les membres dc
Conseil, restent aprbs expos6es des semaines entibres sur la
table du prince Potemkine, ой tous les curieux peuvent les
lire. Fltzherbert l'aurait su et еп aurait 6crit ici, се qui те
feraft perdre l'amit16 de m-r Pitt, оп plut0t cette familiarit6
qui existe entre поив. Mais j'ai cru pouvoir le marquer аи
comte Bezborodko, et dans се cas j'espbre qu'il пе fera pas
voir та lettre аи comte 0stermann, qui se ncherait eontre