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СЪ АТЛВП.

patienoe la communtcation de votre travail sur la Banque, et

је пе crains рав du tout l'opposition du prince Wiazemskoy.

Је voudrais bien que се cher prince те nt payer топ compte

de d6penses extraordinaires que j'ai envoy6 аи mois.de Јап-

vier. et dont је n'entends plus parler. Је vous prie de те

faire l'amiti6 d'en parler notre ami le comte Bezborodko.

L0Ddres, le 7 (18) Juillet 1786.

J'ai• m6ntr6 аи marquis Carmarthen опе traduction de la

lettre que l'Imp6ratrice vous а 6crite la guite de votre re-

pr6septation pour faire jouir les Anglais de tous leurs pri-

vi16ges pendant le courant de cette аппбе, nonobstant l'ex-

;piration du trait6 de commerce. Connaissant l'apathie de се

ministre, је пе m'attendais pas des remerciments; mais j'ai

cru qu'il lirait се papier avec quelque satisfaction. Је fus

bien tromp6 pourtant, саг il l'a parcouru сотте оп раг-

court пп arucle indif6rent d'une gazette.

Је n'ai раз vu m-r Pitt, qui est la сатрадпе, et је сот-

тевсе crolre, d•aprbs се qui т'еп revient de dif6rens со-

•t6s et de trbs-bonne part, que les principes de [а neutralit6

arm6e et l'article du salut entre les valsseaux ont d6cid6 le

rol et le conseil пе plus renouveler le trait6 de сот-

тегсе; mais par 6gard pour la паИоп qui d6sire се renouvel-

lement, ils n'articuleront рад le refus formel et tacheront

d'assoapir cette afaire еп cherchant des prolongations аппи-

ellbs et аи fefus desquelles repr6senteront la nation сотте

si la ruptnre soit arpiv6e de notre c0t6.

Le chevalier York, qui est tRs-attach6 аи minist>re, qui

communique tout, la semaine pass6e, dans la chaleur de

la conv&sation, chaleur qui l'emporte sonvent аи deld de

la prudbnce, dit аи сотее Reventlow que l'Angleterre п'а

рав begoin da renouvellement de wtre trait6, parce que lee