пиши взпств.
d6dre qo'il arrange abiros, maiB је d6Me qu'il
пе reste рад davantaw, mr plus t0t il revitnt, plus t6t j'aurN
des noavelles de се qdi fait поив. Је voas ai еп•
voy6 par Sutherland des semences de 16gumes qae vous мои-
avoir. Је vons rendB mille grbes poar le bien чие vous
avez fait аи frbre du prince
17.
Londru, le 12 (28) Juin 1786.
Votre dernibre lettre, dans laquelle vous m'annoncez que
B0tre ami. monsieur Bacounine, est expirant, т'а r6ellement
afRig6, et j'ai 6crit доп fls Edimbourg роит le pr6venir
две яп pbre est trbs-mal. Је suis d'autant plus fach6 de за
perte qu'il а abr6g6 lui-meme ва vie par la manibre dont il
а v&u. C'est ипе leqon notre ami le comte Bezborodko,
que је conjure d'@tre plus attentif sa sant6, d'@tre plus
dans воп manger et de faire plus d'exercice. L'excbs
de la table, joint l'inaction du eorpg, est се qui tue 1а
pluprt de поз gens d'afaires. J'attends dans trois ои quatre
јоив le comte de Nesselrode, qui est arriv6 d6jA Falmouth.
Les n6gociants de la compagnie de Russie vous sont tru-
0blig6s des soins que vous prenez de r6tablir l'exaptitude
аи brae. Ils m'ont dit que vous avez fait d6baller les ballots
restants de l'ann6e pass6e et qu'ayant trouv6 beaucoup de
friponnerie, vous avez fait punir plusieurs braqueurs.
18.
Londres, le 4 JuiUet п. 8. 1786.
Nous атопв ici depuis quatre jours le comte Neswlrode et
notN emi Rogerson. J'ai rqu celui-ci avec им joie inex-
primable. Је l'abtme de qnestions, et il ше r6pd еп ami