мо
двйсЊш ВОНАПАРТА.
s6par6e, et faire, а 6t6 ins6r$ 16 8, quoique cette paix f0t
d6jA faite ipso facto le 1-er 0ctobre LondresC. Il те parla
alors de la singularit6 sans exemple de toute cette transac-
tion. La France fait sa paix avec la Porte 0ttomane Londres
le 1-er du mois, et malgr6 la publicit6 de cet engagement,
le 8 elle s'engage avec la Russie de faire sa paix avec les
Turcs sous sa m6diation, et trois jours aprbs la France fait
encore ипе troisibme paix avec ип Титс qu'elle tire de pri-
son, et qui п'а аисип pouvoir pour la conclure. N'est-il pas
visible, те disait lord Hawkesbury, que Bonaparte se јоие
de tout le monde, et que son audace augmente par l'assu-
rance qu'il а d'@tre soutenu par la cour de Russie, сотте
cela paraft visible qu'il l'est d6jA par m-r Tamara Соп-
stantinople? Il а ajout6 les r6flexions suivantes: „L'Empereur
nous а fait dire qu'il avait voulu sauver les Turcs sans
nuire la Grande Bretagne еп travaillant pacifer la Porte
avec la R6publique Franqaise. Eh bien, l'Angleterre а fait
cette paix, et il lui еп а bien c00t6 pour la faire; car l'ex-
p6dition de l'Egypte lui а c00t6 immens6ment, et l'Empereur,
ои plut0t son ministre Constantinople, vent. pr6sent ет-
p6cher la ratifcation de cette paixc. Non content de се qu'il
venait de те dire, il m'envoya encore la maison cette
lettre oficielle que j'ai l'honneur de transmettre V. М.
1-le avec ses deux annexes.
18.
Лондонъ, 9 Марта 1802.
Государь!
Я имјдъ честь подучить милостивое Вашего
Императорсваго Ведичества отъ 4-го Феврадя на повор-
вую мою просьбу прЊхать на два мвсяца въ Петербургъ
поив 18-ти автняго 0TcYTcTBiz.
Чрезъ вадјюсь быть въ cocTogBia пуститься