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ПОСРЕДНИЧЕСТВО
France. ll пе voyait pas que cette possession entre les mains
de sa rivale lui attachait й tout jamais les Etats-Unis aussi
bien que l'Espagne, qui aurait 6t6 dans des alarmes conti-
nuelles pour le danger que courait le Mexique раг la proxi-
mit6 d'un voisin aussi dangereux. Les Am6ricains, de leur
c0t6, auraient еи des d6m@16s continuels avec се тёте voisin
si inquiet et si avide de s'6tendre.
П est yisible que Bonaparte пе voulait pas laisser Malthe
аих Anglaig поп seulement pour 10 апз, mais pas pour З
тёте; car il savait que се ministbre, outre son incapacit6
reconnue dans les afaires 6trangbres, btait tout aussi inca-
pable dans les afaires internes, particulibrement dans celles
des fnances, perdait de jour еп jour le реи Те cr6dit qu'il
avait dans la nation, que sa chute 6tait prochaine, et qa'un
autre ministbre •n'aurait plus 6vacu6 Malthe, поп qu'ii aurait
voulu enfreindre ип trait6, mais qu'il n'aurait раз еи la
patience de supporter les infractions et les insolences que
lui, Bonaparte, 6tait trop accoutum6 de faire; et qu'alors,
la premibre de сев infractions, се nouveau ministbre aurait
de droit gard6 Malthe еп repr6sailles de la conduite de la
France.
28.
undres, се 11 (23) Septembre 1803. раг ип coarrier •nglaB.
Sirel
Aussit6t que је requs, le du mois pass6, par-le chas-
seur ПрохвицкТ le rescript d0 У. М. I-le du 7 Juillet,
auquel 6tait аппехб ип projet d'articles pr61iminaires pour la
paix entte се pays et la France, је n'ai pas manqu6, apis
les avoir fait copier, de те rendre chez le secr6taire d'btat,
auquel aprbs avoir montr6 et lu les originaux, је lui еп
laissai les copies.
J'ai inform6 m-r le chancelier de l'Empire de V. М. Не,
dans mes rapports subs6quens, de la mauvaise impression qne