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Аи Palais Taurique, се 4 Мау (179').
Derjavine а cru que vous etes invitb venir
ici;
il а chez moi deux fois de suite. Notez que је n'ai pas
bt6 chez lui pendant ип ап. Le hAbleur est venu chez moi
еп те priant de т'еп informer du comte В. et que Tro-
schinsky lui-meme еп est inccrtain. Alors је Епе suis
de la visite de Derjavine, avec lequel j'ai d'avoir des
e.xplications. Il те paraissait cependant qu'il voulait те dire
quelque chose; mais sons pr€te.xte d'aller chez le Grand-Duc
је le quittai. Beyer П)'а demandb aussi avec beaucoup d'in-
stancc si cela vrai, еп те disant qu'il etait tourmentb
par son chef sur des mi"res, ct qu'il n'Ftait pas du tout
аи fait des afaires. А la Пп, quoique sor que la chose
n'6tait pas possible, et qu'au cas de la possibilitei j't;tais
stlr de votre fermet€, је dernandai аи comte Bczborodka,
qui т'а dit que l'estafette partant il у а fourrb ип paquet
vous, еп envoyant dire 'I'roschinsky qu'il у avait ипе
occasion stre de vous Fcrire, enfn que ccl3 а cause ип
quiproquo; mais il est assez fiatteur pour vous, топ tr&-
cher comte.
Оп dit qne Passeck а demand6 aussi sur cela аи hibleur
plusieurs reprises. Il те revient que се Passeck se plaint
de vous et qu'il vous gronde тёте. Cela т'а donn6 de
khumeur•, j'ai dit m-r Zavadovsky, devant le llAbleur, que
j'6tais etonnb que les gens qui vous aiInent lui permettent
de parler de la sorte, parce que le hAbleur le rapportait аи
comte Zoubor. Quand moi, dis-je, је lui fermerais la bouche
tout bonnement; qu'il 6tait dur pour ип honnete honnne de
soufrir qu'on parlAt d'un quelqu'un dont la probitb est соппие.
Је пе sais si 'l'arsoukof soufHt5 l'ami de Passeck, mais