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P6tersbourg, се 22 f6vr. 1805.
Dans quinze jours је repars роит Mom•epos, et је
suis trbs-incertain encore si је reviendrai icy l?hyver
pt•ochain, moins que се пе soit роит le c-te Michel.
Је vous avoue тёте чие та principale. intention еп
venant icy cette fois-cy а 6t6 entibrement frustr6e.
J'accourois uniquement роит voir l'Imp6ratrice-mbre.
Је l'ai vue deux fois depuis топ arriv6e. Il est vrai
que sa maladie et celle de la grande-duchesse Cathe-
rine а 6t6 la principale cause de cette privation. Mais
enfn, et avant la maladie et depuis son r6tablissement,
chaque fois que је l'ai vue, се n'6toit plus la тёте
chose que cy-devant, et је vois qu'elle еп admet d'au-
tres pendant que, је reste la porte. Tant il est vrai
que les grands n'aiment que сеих qu'ils peuvent tour-
menter continuellement. Les m6mes amiS dont vous
faites mention, m'auroient-ils rendu le тёте service?
Cela est fort probable, саг ils seavent sarement, роит
реи qu'ils ayent de logique, que је пе les estime pas
plus que vous. Је те remettrois peut-@tre еп cr6dit,
si је leur faisois la cour. Mais vous те connoissez, et
vous sgavez que cela m'est impossible. Је пе crois pas
cependant que le changement dans les commissions de
Sa Majeste Imp6riale Londres vienne d'autre chose,
si се n'est que је пе suis plus et que peut-6tre elle
пе croit pas devoir mettre сеих qui travaillent роит
elle actuellement еп correspondance directe avec m-r
l'ambassadeur. Је dois n6cessairement la voir demain,
et si је la trouve seule, је пе manquerai pas de tou-