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de la vendre, et је crois que c'est le meilleur parti

qu'il puisse prendre.

J'ai еи le plaisir d'embrasser le comte Michel la

veille de топ d6part de P6tersbourg.

79.

Monrepos, се 27 тау (8 juin) 1809.

Се n'est qu'aujourd'hui que је reeois votre lettre

6crite il у а plus de sept mois, et du retard de la-

quelle nous g6missions depuis longtems entre nous

trois. Моп fls, qui est encore P6tersbourg, т'а еп-

voy6 icy tout le paquet que vous lui avea adress6,

contenant еп outre la lettre que vous lui aviez 6crite

et тёте celle de mylady Pembroke. Vous пе syau-

riez croire combien cette dernibre т'а int6ress6. C'est

le portrait le plus parlant et de la plus excellente fem-

те et du plus grand et vrai bonheur dont ипе telle

femme puisse jouir.

Arriv6 P6tersbourg le l-r f6vrier, је comptois еп

repartir le 15 mars. Mais l'arriv6e du duc d'Olden-

bourg, ипе trbs-ancienne connaissance, que је revoyois

probablement роит la dernibre fois, les nopces de son

fils avec notre aimable grande-duchesse, m'ayant retenu

.jusqu'aprbs P&ques, survint ensuite ипе maladie trbs-

grave de та femme, qui а dur6„ plussieurs semaines.

ensuite la d6b5cle .de [а N6va et l'impossibilite de [а

•passer avant le r6tablissement des ponts, de sorte que

је n'ai ри arriver icy que le 22 de се mois, enchant6

de pouvoir derechef dfner ипе heure, souper neuf,

те coucher vers onze et те lever entre six et sept.

Des promenades, la lecture, la correspondance, quelque