З.
Le 23 novembre, аи Carlsberg, chez le duc des
Deux Ропш (1782)
Cela n'est-il рад hideux, топ cher ami, que ј'ар-
prenne рас ип autre que vous avez fait inoculer votre
enfant et que cela vous а r6ussi? Comment pouvez
vous croire que les 6vbnements de votre vie пе sont
pas сеих de la mienne, et comment se fait-il que је
repive si rarement de vos lettres? M-r votre frbre,
dont les bont6s те sont pr6cieuses, vient de m'6crire
encore, et il finit sa lettre par m'annoncer que vous
m'6crivez aussi; cependant је n'ai pas реди ипе ligne
de votre part depuis que vous m'avez аппопсб assez
tard votre nomination. Il те semble que је пе vous
fais que des reproches; mais ces reproches coulent
d'une source qui пе peut pas vous d6plaire: c'est l'a-
miti6 la plus vive qui les dicte. Il est sar que rien пе
peut rompre le ckarme qui m'attache vous, et c'est
cause de cela тёте que votre d6licatesse devrait
vous empecher de m'afliger dans ип point aussi sen-
sible. Ecrivez moi donc, је vous prie, et пе n6gligez
pas de те rendre compte de tout се qui vous regarde
ои touche madame la comtesse et votre enfant. Le
dernier пе se soucie pas encore de mes tendresses;
mais pr6sentez les assurances tendre hommage
la comtesse. Је vois d'ici combien l'un et l'autre
vous devez 6tre satisfaits du retour de La Fermibre.
Quant moi, il пе те reste plus qu'& voir passer
par l'Allemagne mes deux frbres, et tout sera dit.
Cette r6flexion n'est pas riante, mais је п'у реих rien,