de croire que j'ai grande envie de vous obliger рет-
sonnellement dans cette afaireg.
Се d6but de eonversation que j'afaiblis peuutre.
tant il 6tait positif et favorable pour moi, fut inter-
rompu par l'arriv6e du duc de Wurtemberg аи devant
duquel l'empereur alla. Jugez de топ 6tonnement,
lorsque la veille de топ d6part, prenant сопдб de се
monarque et ayant fait tomber derechef la conversa-
tion sur le тёте sujet, је le trouvais plus roide que
la premibre fois. Son refus fut derechef trbs-p6sitif,
et il le termina par те dire: „Аи reste, је compte vous
devoir la d6marche que је demande аи duc des Deux-
Ponts et sans laquelle је пе puis agir еп sa faveur“.
J'ai quelques raisons de croire que le c-te Cobentzl
avait marqu6 dans ces entrefaites que l'on n'avait
se reposer sur moi et que j'ambnerai le duc tout
се que la cour de Vienne pouvait еп d6sirer.
C'est роит n'avoir pas ри donner cette interpr6ta-
tion та cour que је lui ai simplement rendu compte
du refus sans parler de la facilit6 que l'empereur avuit
t6moign6 autrefois.
Је conclus de tout cela que si nous avions insist6
Vienne, nous aurions obtenu се que поив demandons
vainement Munich. C'est trop tard; pr6sent il faut
laisser faire l'apoplexie toute seule, се que l'intimit6
de deux cours imp6riales, [а m6diation de deux puis-
santes monarchies et des promesses donn6es аи соп-
grbs de Teschen, n'ont ри efectuer.
Је vous livre та profession de foi et tous les d6tails
qui l'ont suivis; vous donne тёте la permission de
la montrer qui il convient, ои de la garder rien qne
роит votre usage, 8i vous le croyez plus convenable.