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Кь тфу Аптандру Роиатвячу.
Monsieur le comte.
Votre excellence пе doutera sorement pas de la sa-
tisfaction que j'6prouve lui faire mes complimens sur
la distinction dont sa Majest6 Imp6riale l'a honor6e le
jour de son sacre. Mais si се n'est qu'& pr6sent, monsieur
le comte, que vous vous trouvez dans la prenib•e classe
par oukaze, il у а quelque tems que pour les gens
bien pensants et pour сеих qui ont du tact vous еп
occupiez ипе dans laquelle il n'est pas toujours аи
pouvoir des souverains de placer qui ils jugent
propos.
Је devrais те renfermer dans cette d6monstra-
tion_'de respect que је prends la libert6 de vous don-
пет; mais l'indulgence avec laquelle vous avez bien
voulu causer avec moi si souvent m'autorise vous
importuner encore de quelques lignes.
Ne vous serait—il pas possible, monsieur le comte,
de faire тоуеп de quelqaes-unes des vues consign6es
dans les 6crits que j'ai laiss6s entre vos mains? Је suis
dans l'intime persuasion qu'il у епа qui seraient d'une
utilit6 v6ritable, et се n'est се titre que је r6clame
votre appui. Quant се qui est de та personne, је la
consaere еп entier аи bien-6tre des sujets de Sa Ма-
jest6 Imp6rial6 dont les services de топ pbre m'ont
rendu le seigneur. Malgr6 la 16gitimit6 du titre auquel
је le suis devenu, је пе т'еп crois pas plus autoris6