13.

Кь тфу Аптандру Роиатвячу.

Monsieur le comte.

Votre excellence пе doutera sorement pas de la sa-

tisfaction que j'6prouve lui faire mes complimens sur

la distinction dont sa Majest6 Imp6riale l'a honor6e le

jour de son sacre. Mais si се n'est qu'& pr6sent, monsieur

le comte, que vous vous trouvez dans la prenib•e classe

par oukaze, il у а quelque tems que pour les gens

bien pensants et pour сеих qui ont du tact vous еп

occupiez ипе dans laquelle il n'est pas toujours аи

pouvoir des souverains de placer qui ils jugent

propos.

Је devrais те renfermer dans cette d6monstra-

tion_'de respect que је prends la libert6 de vous don-

пет; mais l'indulgence avec laquelle vous avez bien

voulu causer avec moi si souvent m'autorise vous

importuner encore de quelques lignes.

Ne vous serait—il pas possible, monsieur le comte,

de faire тоуеп de quelqaes-unes des vues consign6es

dans les 6crits que j'ai laiss6s entre vos mains? Је suis

dans l'intime persuasion qu'il у епа qui seraient d'une

utilit6 v6ritable, et се n'est се titre que је r6clame

votre appui. Quant се qui est de та personne, је la

consaere еп entier аи bien-6tre des sujets de Sa Ма-

jest6 Imp6rial6 dont les services de топ pbre m'ont

rendu le seigneur. Malgr6 la 16gitimit6 du titre auquel

је le suis devenu, је пе т'еп crois pas plus autoris6