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З.
(Stockholm, 1780).
Puisque l'avidit6 que vous avez de vous instruire,
топ cher comte, п'а pas regard6 тёте аи danger
dans lequel vous те mettiez d'dtre accroch6 ипе des
potences de Stockholm, il est juste que је те fasse
quelque m6rite auprbs de vous d'avoir ex6cut6 la сот-
mission que vous m'avez donn6e. Је suis тёте de
pouvoir yous еп parler pertinemment. сат la seule
exception чие је n'a.i pa.s pris l'uniforme sn6dois, il
n•est certes de moyens dont је пе те sois servi роит
vous met.tre аи fait de се чие vous vouliez sayoir.
Vous trouverez ci-jointe ипе note *) qui r6pond point par
point аих questions чие vous avez bien voulu те faire;
mais ее n'est pas proprement топ ouvrage. Је l'ai
tir6e de nos archives, que j'ai eues, сотте vous savez,
та disposition, et је vous renvoye nniquement pour
r6pondre dans la plus grande exactitude vos sou-
haits. Mais роит та part је т'еп vais vous r6galer
tort et travers de toutes sortes de raisonnements
sur le militaire de се pays, et vous aurez la bontb de
les prendre сотте оп prend ипе m6decine: avec сои-
оде et sans .r6flexion. Mais avant que de. vous рат-
ler de l'arm6e su6doise, је dois, топ cher comte, vous
dire ип mot sur la fayon dont elle s'est form6e et cel-
le рат laquelle elle subsiste encore; car quoique j'aie
lieo de vous supyser toute l'6rudition militaire pos-
sible, cette matibre est si- diflcile et si embrouill6e que
• ) Этого не нашлось. П. В.