9.
А Berlin, le 13 juillet 1787.
П у а bien longtemps, топ cher comte, que vous пе
m'avez de vos nouvelles et, les afaires part,
је d6sirerais еп recevoir souvent.
Quelqu'ait 6t6 la vivacit6 avec laquelle nous nons
sommes port6s ici амх armements dont tontes les gazettes
vous anrons entreteno, il n'est pas prohable que
nons соирьпз l'ordlle d Malchft8. Le Seigneur пе nons fera
рад remettre l'6p6e dans le fourreau. ll parait qu'Il veut
plut0t que nous пе la tirions pas. Cela nous sera
d'aillenrs d'autant pltw ais6 qu'on dit que toutes les
puissances interviennent роит engager la Hollande
nous accorder la satisfaction que nous demandons. Оп
raconte тёте que deux courriers anglais arriv6s ces
.jonrs-ci пе nous опо apport6s que des projets qui у
ont rapport. Cependant, сотте l'un des deux doit avoir
pass6 par Byuxelles, il se peut fort bien aussi qu'il ait
6t6 porteur de quelques d6p6ches qui regardent les
troubles du Brabant. bien des conjectures; mais
pour пе pas vous laisser ignorer toutes celles qu'on
fait, је dois vous dire encore qu'on d6bite qu'il est
question Типе alliance entre la соит de Londres et
celle-ci. Il faut que le but п'еп soit pas.bien paci6que,
puisqu'en тёте temps il est question aussi, de la part de
la cour de Londres, de prendre sa solde des Hessois
et d'autres troupes. Tout cela vous est apparemment
entibrement inconnu et est-peut Btre entibrement faux.
Је пе serais pourtant рад fAch6 de savoir се que les
deux courriers peuvent avoir apport6 et j.'attends la