А Berlin, 265uin 1787 1).
Је suis bien sensible, топ cher comte, роит les mar-
ques de souvenir que vous avez bien voulu те donner.
Nowicow 2) т'а remis votre lettre, et j'ai fait еп тёте
temps la connaissance de l'Anglais qui voyage avec lui.
Autant qu'on peut juger des personnes sur le premier
соир d'oeil, celui-ci т'а рати avoir des lumibres, ип esprit
juste et de la simplicit6 dans le caractbre. J'espbre qu'il
пе sera pas fAch6 d'avoir еи la curiosit6 d'aller
P6tersbourg. Је le souhaite et pour lui, et pour moi.
Vous те dites, топ cher comte, que tout paraft
assez tranquille chez vous; cependant les gazettes nous
annoncent des pr6paratifs relativement. аих afaires de
Hollande; оп paratt d6termin6 fair6 des d6marches
plus vigoureuses, et il n'est question de rien moins que
de l'envoy d'une escadre. Је pense que vous пе seriez
pas de nous engager faire avancer aussi ип
реи quelques r6giments du cdt6 de W6ser, mais је vous
proteste que nous п'еп avons pas l'intention. D'ailleurs
nous п'у avons pas aussi les m6mes int6rats que vous л).
La Hollande est• pour nous сотте tous les autres
pays, et la tendresse que le roi ) porte т-те la prin-
cesse d'Orange сотте frbre п'а rien de соттип avec
1) Графъ Серг“ Петровнчъ Руиявцовъ был въ это вреиа послме
никоиъ въ БердинТ. И. Б.
я) Олинъ изъ чиновниковъ Иностранныхъ ДТлт,. И. Б.
г) Т..е. въ AHHiH, гдћ съ Мая 1785 года трафь Воронцовъ быть
посланнивомъ. И. Б.
Преемнивъ Фридриха Веливаго. П. Б.