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Кь графу Александру Ропновичу.
Parib le 26 d6cembre 1782.
Vous avez, monsieur le comte, tant d'indulgence,
qu'on ose hardiment vous importuner. J'ai d'ailleurs
dans cette occasion toutes les raisons du monde d'es-
p6rer que vous aurez la bont6 de reconnaitre la n6ces-
sit6 dans laquelle је те suis trouv6 de le faire.
J'ai 6crit il у а trois mois pour le moins ипе lettre
Bezborodko pour le prier de vouloir bien arranger.
conjointement avec monsieur de Schouvalow, ипе espbce
de prolongation de сопдё qu'il пе fClt pas n6cessaire
de demander l'1mp6ratrice. ll пе s'agissait que de те
perntettre de passer l'hiver Pa.ris, се qui m'uurait
convenu et роит le fruit que је pense retirer de топ
s6joup ici, et роит les fatigues et les risques d'un voyage
pdnible que cela m'aurait 6pargn6s. M-r de Bezborodko
пе point r6pondu; је pense que des occupations
plus s6rieuses l'auront emp@ch6 de songer ипе chose
aussi реи importante. Cela п'а pas manqu6 cependant
de те jeter dans le plus grand des embarras. Је те
suis trouv6 dans l'impossibilit6 de те d6cider moi-mdme:
је пе pouvais pas тёте prend're la r6solution de par-
1ir: car dans l'incertitude ой j'6tais, је пе voulus pas
courir les risques de те croiser еп chemin avec cette
prolongation tant d6sir6e. Veuillez bien, monsieur le
comte, m•accorder votre protection dans cette occasion
et ayez la bont6 de lui rippeler: qu'il те doit du moins
ипе r6paration, et que s'il lgi est impossible de те
procurer се que је lui avais demand6, qu'il те per-
mette du moins d'esp6rer qu'il se rendra respon-