pauvre Haliday? Је пе sais pas si feu m-r de Fersen *)

avait raison dans les deux choses qu'il vous soupgon-

nait de tant craindre; mais cela 6tait, il те semble, que

vous auriez tort: car pour la premibre, puisqu'il fiut

mourir, quelle mort plus douce pourra.it-on se souhai-

ter; et роит l'autre, се sera, suivant les gens avec

lesquels vous aurez faire, ипе chose impossible ои

in6vitable. Voilh donc aussi ипе chose sur laquelle nous

пе serions pas de тёте avis, probablement parce que

nous l'envisageons de dif6rens c0t6s.—Ne vous ai-je

pas marqu6 que m-r Y6laguine et m-r Angiolini 6taient

raccommod6s aprbs tout се qui s'est pass6 entre еих:

c'est presque encore ип ridicule. Аи reste, се n'est

qu'une trbve que m-r l'ambassadeur de la Grande-

Bretagne а trouv6 тоуеп de faire conclure. Auriez-

vous рй penser qu'une telle entreprise dn fls d'Aga-

тбтпоп m6ritat l'entremise? Il п'а pourtant pas moins

fallut que cet ambassadeur et le mar6chal Razoumowsky

роит terminer cette grande afaire. M-r Angiolini reste

donc pendant six moix sue l'ancien pied, de sorte que

si Dieu nous pr@te vie et nous d6livre de nos misbres,

il у аита de belles choses faire danser. Је vous suis

bien 0blig6 de m'avoir redress6, сотте vous avez fait,

dans топ 6valuation. Cependant, је vous avoue que

j'6tais tent6 de vous mettre, сотте l'Avare, la main

sur la bouche: ah traitre, tu manges tout топ bien!

Оп vous aura envoy6 les d6tails de l'afaire du roi

de Pologne, car се n'est plus ип mystbre. Се que је

vous еп marque est assez exact quelques petites

circonstances prbs. Рат exemple, l'afaire пе s'est pas

* ) См. объ этомъ Ферзенгђ въ XXVI кн. Архива Князя Воронцова, стр.

166 и П. Б.