211

tion. M-r Falconet п'а pas manqu6 de demander si vous

пе те disiez rien du cheval de Marc-Aurble, et lui ayant

r6pondu que поп, „Par Dieu, vous devriez bien lui

6crire, qu'il ?ous еп dise son

Нь неиу же.

(1780).

Monsieur le comte! Guarengui т'а remis hier votre

billet l'op6ra. Quoique је dusse m'attendt:e се que

vous те marquez sur rnon pauvre Roman, је п•еп suis

pa.s moins afflig6. Је crains outre cela qu'il пе cause

de rembarras аи comte Alexandre et, pardbssus le

marcl\6, је suis tourment6 de l'id6e de l'avoir priv6

des soins que j'6tais apport6 de prendre de lui ici.

Notre -d6part d'ici, que је pensais pouvoir peut-@tre

efectuer aujourd'hui, est regul(5. М-те de Benckendorf

n'est point encore ассоисЉбе, quoiqu'elle еп ait donn6

l'allarme depuis Dimanche. La grande-duchesse п'а pas

boug6e d'auprbs d'elle depuis се tems, et monseigneur

n'est venu deux fois ici дие pour des moments. Ј'ар-

prends que l'Imp6ratrice lui а dit que si се mauvais

tems continuait, elle n'ir.ait pas тёте P6terhof. Ainsi

оп. pourrait bien n'aller еп ville que роит ипе couple

de jours et revenir ensuite ici. Et si т-те de В. п'ас-

couche pas d'ici demain, ои si les choses пе vont

pas parfaitement bien aprbs sa d61ivranco, le gr.-duc

et la grande-d-sse pourraient bien пе pas aller еп ville

demain, ni par cons6quent nous поп plus. Је vous

dois ип mot suc се qui те •regarde: iout est remis аи

тёте et semblable 6tat qu'6taient les choses aprbs la

grande explication de Pawlowsk()ie, de sorte qu'on