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tion. M-r Falconet п'а pas manqu6 de demander si vous
пе те disiez rien du cheval de Marc-Aurble, et lui ayant
r6pondu que поп, „Par Dieu, vous devriez bien lui
6crire, qu'il ?ous еп dise son
Нь неиу же.
(1780).
Monsieur le comte! Guarengui т'а remis hier votre
billet l'op6ra. Quoique је dusse m'attendt:e се que
vous те marquez sur rnon pauvre Roman, је п•еп suis
pa.s moins afflig6. Је crains outre cela qu'il пе cause
de rembarras аи comte Alexandre et, pardbssus le
marcl\6, је suis tourment6 de l'id6e de l'avoir priv6
des soins que j'6tais apport6 de prendre de lui ici.
Notre -d6part d'ici, que је pensais pouvoir peut-@tre
efectuer aujourd'hui, est regul(5. М-те de Benckendorf
n'est point encore ассоисЉбе, quoiqu'elle еп ait donn6
l'allarme depuis Dimanche. La grande-duchesse п'а pas
boug6e d'auprbs d'elle depuis се tems, et monseigneur
n'est venu deux fois ici дие pour des moments. Ј'ар-
prends que l'Imp6ratrice lui а dit que si се mauvais
tems continuait, elle n'ir.ait pas тёте P6terhof. Ainsi
оп. pourrait bien n'aller еп ville que роит ипе couple
de jours et revenir ensuite ici. Et si т-те de В. п'ас-
couche pas d'ici demain, ои si les choses пе vont
pas parfaitement bien aprbs sa d61ivranco, le gr.-duc
et la grande-d-sse pourraient bien пе pas aller еп ville
demain, ni par cons6quent nous поп plus. Је vous
dois ип mot suc се qui те •regarde: iout est remis аи
тёте et semblable 6tat qu'6taient les choses aprbs la
grande explication de Pawlowsk()ie, de sorte qu'on